Healer – Kdrama Netflix

Le K-drama HEALER (à voir sur Netflix) regroupe tout ce que j’aime : de l’action, des complots, un peu d’amour… et en plus il met en scène mon chouchou du moment, Ji Chang-Wook (Suspicious Partner, K2 dont je te parle prochainement). Je t’en dis plus !

Le pitch de Healer

En 1992, 5 amis à la tête d’une radio pirate vont voir leurs vies bouleversées. L’un va mourir, un autre partir plus de 13 ans en prison, une autre encore va perdre l’usage de ses jambes dans un accident et surtout, perdre son enfant… Sans que l’affaire ne soit jamais vraiment résolue.

Séoul 2015 – 13 ans plus tard, cette histoire va ressortir à travers trois parcours :

• Celui d’un mercenaire qui se fait appeler Healer (le très charmant Ji Chang Wook), offrant ses services au plus offrant sans se poser de question
• Celui de Yeong Sin (Park Min Young, ultra touchante et débordante d’énergie), une jeune journaliste people
• et Kim Mun Ho (Yu Ji Tae), un journaliste très connu pour ses reportages chocs.

Leurs trois protagonistes vont se croiser, sans savoir qu’en fait, ils sont tous liés par l’histoire de 1992. Sur fond de complot politique et d’intrigues au sommet, ils vont se rapprocher pour découvrir ce qu’il s’est passé à l’époque et dénoncer les combines… et se venger.

Ce que j’en ai pensé de Healer

Comme je te le disais en intro, j’ai adoré les 20 épisodes d’une heure. La série est beaucoup plus rythmée que la plupart des kdramas que j’en déjà pu voir. L’alchimie passe vraiment bien entre les différents acteurs, notamment entre Healer et Yeong Sin, ce qui fait que leur histoire d’amour débutant est très crédible.

Avec une bonne partie pleine d’humour au début, où Healer se rapproche de la jeune femme pour la surveiller, en se faisant passer pour un autre, source de clins d’oeil plutôt sympa !

L’autre aspect sympa de la série, c’est que les personnages secondaires prennent vraiment leur place dans l’intrigue et ne sont pas juste effleurés à la surface. Ça donne une vraie dimension au show et rend la série encore plus attachante. Gros coup de cœur pour moi pour l’actrice Kim Mi-kyeong qui joue ici l’acolyte hackeuse du Healer, et que j’avais déjà vu dans d’autres rôles totalement différents (notamment top dans celui de la mère muette dans The Heirs).

Côté action, les scènes de yamakazi du Healer sont assez impressionnantes : le voir courir sur les toits de Séoul et escalader en deux temps trois mouvements les immeubles est bluffant.

Les scènes d’action et de combat sont quant à elles très bien chorégraphiées, j’étais à fond ! On est autant dans le thriller que la série d’action, et il n’y a pas vraiment de temps mort, ce qui est ultra-appréciable.

Comme toujours dans les dramas, les personnages principaux traînent leur lot de casseroles, mais ici, c’est finement traité, et on sent que chacun à sa manière a fait preuve de résilience. C’est assez appréciable, car c’est l’un des travers que je trouve le plus agaçant dans les séries coréennes : les personnages traumatisés par un évènement qui prend parfois des proportions incroyables, et qui plombent l’intrigue.

Petit conseil : comme il y a pas mal de flashback qui renvoient à 1992, les premiers épisodes, on peut avoir du mal à y voir clair, mais peu à peu on comprend les tenants et aboutissants, et ça donne un vrai plus à l’histoire !

Healer – 20 épisodes d’1H à voir sur Netflix