Les bobos
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Mal de gorge ? Les pastilles au miel à la rescousse !
Même l’été, personne n’est à l’abri d’un petit mal de gorge. En prenant l’avion pour les vacances, en trainant le soir après un barbecue jusqu’aux premiers frimas de la nuit… Dans ce cas, les pastilles au miel pour la gorge sont idéales comme remède naturel pour apaiser les maux de gorge. Le miel, en particulier le miel de Manuka, possède des propriétés exceptionnelles qui en font un ingrédient de choix dans la formulation de ces pastilles. Je t’en dis plus. Les Bienfaits du Miel pour la Gorge Le miel est reconnu depuis des millénaires pour ses vertus thérapeutiques. Voici quelques-uns de ses principaux bienfaits pour la gorge : Le miel…
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Mon papa a la maladie d’Alzheimer
Voilà. C’est écrit. Noir sur blanc. Mon père a la maladie d’Alzheimer. Il a 77 ans. J’ai compris récemment que ne pas en parler, c’était un peu comme si je niais l’évidence. Alors aujourd’hui, j’en parle. Parce que cela n’a rien de honteux. Ça ne fait pas de mon père quelqu’un d’autre. Enfin, pas encore. Pour avoir beaucoup lu récemment sur cette maladie, je sais surtout une chose : on ne sait pas ce qui va se passer. Comment cela va évoluer. Ce qui va vraiment changer. Comment nous avons compris Je crois que les premiers signes d’alerte ont commencé en 2019, mais qu’on n’a pas trop su les interpréter…
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Que faire quand ton chat ramène des puces à la maison ?
C’est la question que l’on a bien été obligé de se poser il y a un bon mois. Mina, notre chatte, donc, a profité d’une porte ouverte pour venir faire une petite sieste sur notre lit. Je sais que beaucoup de personnes laissent leur chat dormir dans leur chambre : ce n’est pas notre cas. Même si elle a tendance à rester dans notre jardin, c’est une chatte qui sort, se roule par terre avec délice. Sur le moment, j’avais plus peur qu’elle laisse des saletés sur le lit. Mais ce n’était malheureusement pas des saletés. Pourquoi on n’avait pas vu qu’elle avait des puces ? C’est tout simple. Pour…
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Stop aux règles douloureuses, avec Livia
Depuis que j’ai mes règles (13 ans !), j’ai dû apprendre à jongler avec les douleurs. Cela dit, dans mon cas, je ne suis pas trop à plaindre : je douille seulement un mois sur deux, et la douleur est très variable ! Parfois j’ai mal à en vomir, nausées etc… Parfois, ce sont juste des crampes. Je me rappelle clairement des matins à ne pas pouvoir me lever, à rentrer de cours tellement je n’en pouvais plus. J’ai testé pas mal de choses et puis au fond, j’ai fini par me résigner. Point barre. L’andouille. J’avais déjà entendu parler de Livia, mais en toute honnêteté, je ne me voyais…
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Ces femmes croisées à l’hôpital
Depuis que j’ai appris que j’avais une maladie auto-immune, j’ai fait plusieurs passages à l’hôpital. Dans mon « malheur », j’ai eu de la chance. Ma maladie est très gênante au quotidien : contrôle permanent des plaquettes par des prises de sang (compliquées car mes veines sont très fines et profondes), tests de médication sans succès, passage à l’hôpital pour me passer en perf’ le seul médicament qui fonctionne… Mais au jour le jour, je ne souffre pas. Aussi durant ces derniers mois, j’ai eu beaucoup de temps pour penser à ceux qui souffrent. Les personnes de mon entourage, qui ont (et ont eu) à combattre la maladie, la souffrance. Qui ont…
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L’aventure intérieure avec Maxi-Flore
J’ai cherché un moment un titre un peu plus glamour que : Vis ma vie avec des intestins déglingués… et il me semble que c’est pas mal non ? 🙂 Petit historique : ma vie, mes intestins T’inquiète, je vais te dire ça en douceur ! Comme tu le sais puisque tu es un fidèle lecteur (n’est-ce pas), en août 2016 on m’a diagnostiqué une maladie auto-immune du sang, un purpura Thrombopénique immunologique. Suite à ça, j’ai subi une splenectomie (en bref, on m’a enlevé la rate). Suite à cette fabuleuse aventure opératoire, on m’a prescrit un an d’antibiotiques à base de pénicilline. Bref un truc costaud. J’ai beau…
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A la recherche de l’équilibre perdu
Des fois, on se fait des frayeurs. C’est facile, surtout au sujet de la santé. Notamment après avoir été malade… Quelques mois après mon opération, j’ai commencé à avoir des petites pertes d’équilibre. J’étais debout, et je partais en arrière. En faisant la vaisselle, en me lavant les dents, en parlant avec quelqu’un… Bref, dans les gestes du quotidien. Au début ça ne m’a pas trop inquiétée, j’ai pensé que ça passerait. Et puis peu à peu, j’ai trouvé ça louche. Visite chez l’ORL J’ai d’abord pensé à un souci d’oreille interne. J’ai pris rdv chez l’ORL. Il m’a fait pleins de tests. Ce n’était pas ça. Pour être sûr…
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Etre naïve
C’est un bien joli mot, naïve. Il sonne bien, tout doux. Ses synonymes sont moins sympas : cruche. Bécasse. Idiote. Pourtant, j’affectionne mon petit côté naïf. Ce petit moment où je dis « Non c’est pas vrai ?! », vois la tête de mon interlocuteur, et percute que non, en effet, ce n’était pas vrai. Bref j’ai cru un bobard. Pourquoi ? Parce que je me dis que j’ai foi en l’humain ! Et en général, c’est plutôt fun. On en rigole. « Non mais comment t’as pu croire ça ? » – Bah, ça aurait pu ! En fait, non en y réfléchissant bien, ça n’aurait pas pu. On dira…
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Le défi des 6 mois à venir
Quand l’interne de l’hôpital m’a dit : « Avec ce traitement, vous ne pourrez pas tenter d’avoir un enfant avant 6 mois », j’ai cru qu’on m’avait giflée. Avec une force rare. Non seulement je venais de perdre mon bébé, non seulement je faisais une grossesse extra-utérine, mais en plus on m’ôtait la possibilité de retenter ma chance dès que possible. J’ai 41 ans. Dans 6 mois, j’en aurai 42. Mon coeur s’est brisé. J’ai éclaté en sanglots. D’abord, je me suis répétée en boucle : « Et si c’était foutu ? » j’avais l’impression qu’elle venait de me dire, en fait « Vous n’aurez jamais d’autre enfant ». « C’est peut-être une chance »…
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La fausse couche : en parler…
Si tu me suis ici, tu sais que l’été 2016, je suis tombée malade. Ce que tu ne sais pas, parce que jusqu’ici je l’avais gardé pour moi, c’est qu’à ce moment-là, j’étais enceinte. La maladie ne m’a pas pris que ma rate. Elle nous a pris aussi ce bébé qu’on attendait depuis un moment. Je n’en n’ai pas parlé parce que… En fait si, j’en ai parlé. Autour de moi. Souvent. Là. Juste pas ici. Et je me dis que j’aurais du. Parce que j’ai mis plus d’un an à m’en remettre. J’en parlais, à mes amies quand je les voyais. Car toutes connaissent mon désir d’enfant, et à…