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3 raisons de regarder Sweet tooth

Sweet tooth, la série très originale tirée d’une BD DC comics de Jeff Lemire, met en scène les aventures de Gus, un jeune garçon de 10 ans, mi-humain, mi-cerf, dans un monde ravagé par un virus meutrier.

Bande annonce

Voici 3 raisons de regarder les 8 épisodes de la première saison sortie début Juin sur Netfix.

1. C’est une série fantastique à voir en famille

À part les séries directement proposées pour les enfants sur la plateforme comme les récentes que Crevette a adoré, j’ai nommé :

  • Gortimer Gibbons,
  • Julie and the phantoms,
  • Super Détectives
  • Les Anonymes

qui sont sympas, mais pas franchement excitantes pour les parents, il y a peu de séries à voir ensemble. Or, la Sweet tooth est plutôt accessible (l’age annoncé est 13 ans mais je pense que dès 10 ans, c’est très jouable). Contrairement à la BD d’origine, plus sombre.

À noter à ce propos : c’est Robert Downey Junior et sa femme qui ont décidé d’adapter le comic et d’en faire une série, déjà à succès.

Robert Downey Junior

La série parle avant tout d’acceptation des différences et de l’acceptation de l’autre.

2. Sweet tooth fait écho à ce que l’on vit

Forcément, la pandémie qui sévit dans la série ne peut que faire écho à celle que nous vivons en ce moment, même si bien entendu, la fiction dépasse largement la réalité. Ici, en même temps que le virus a vu le jour, des hybrides sont apparus. Toutes les naissances qui ont eu lieu après le début de la crise ont vu naître des bébés mi-animaux, mi-humains. Comme l’oeuf et la poule, tous se sont demandé si c’étiat le virus qui avait crée ces hybrides ou l’inverse.

L’histoire de Sweet Tooth a lieu 10 ans après le début de la pandémie, dans un monde ravagé, post apocalyptique. Gus va partir de la forêt de Yosémite où son père l’avait caché depuis le début du virus, pour partir à la recherche de sa mère. Sera-t-il prêtà affronter le monde et la réalité ?

3. Le héros est ultra touchant

Le jeune acteur qui interpète Gus, le canadien Christian Convery n’a en effet que 11 ans, mais il porte cette série sur ses jeunes épaules. Pourquoi la série s’appelle ainsi ? Parce que Gus a le bec sucré et c’est ainsi qu’il est surnommé :

Tout au long de son périple, il va aussi rencontrer d’autres personnes qui vont tenter de l’aider, de s’en débarrasser voire de le capturer. En effet, une chasse aux hybrides sévit partout sur Terre, ces derniers étant montré du doigt comme les responsables de cette catastrophe sanitaire.

La série parle avant tout de quête de soi, mais aussi de rédemption, à l’instar du protecteur de l’enfant, Tommy Jepperd, un ancien footballeur américain qui a perdu pied après la pandémie et n’est pas fier de ses actions depuis. Au contact du jeune Gus, il va aussi peut être reprendre espoir.

Bref, une belle série de 8 épisodes d’1h à voir actuellement sur Netflix.

Revoir ma chronique sur France Bleu

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