Il était une fois Pampers

Ca nous a bien fait rire quand même, car la responsable de la marque en France nous dit "on a enlevé les bras, parce que les gens ne comprenaient pas que c'en était". On s'est toutes regardées et on a éclaté de rire : on n'avait jamais capté en effet 🙂

Mais c'était aussi l'occasion de faire un petit quizz sur la marque (je suis décidément peu douée en quizz) :

Et de décortiquer en live une couche pour voir comment marchait les petits capteurs absorbant à l'intérieur. Et là j'ai été un peu s'couchée scotchée :

c'est là que tu vois aussi le travail scientifique derrière, et surtout les innovations de folaÏ mises en place (quand tu vois les couches d'avant, et ne serait-ce que les pubs d'antan, tu ne peux que craquer sur les nouveaux produits et pubs)

AVANT

à voir ici 🙂

APRES

Et l'occasion aussi de parler de leur engagement avec l'UNICEF chaque année : 

SIncèrement, ca fait plaisir aussi de rencontrer ceux qui travaillent au quotidien pour la marque, scientifique, responsable marketing…

De voir leurs bureaux et d'avoir un contact direct avec eux. On a pu leur poser toutes les questions qu'on voulait du genre : "Les personnages, c'est devant ou derrière la couche ?", "pourquoi on voit mal la taille sur les nouveaux modèles" ou "c'est quoi la différence entre le taille 4 et la taille 4+ ?" (pour cette dernière, sachez que ce n'est pas une question de taille la couche est identique de ce point de vue -là mais une question d'absorption : pour les bébés "GROpipi" on prend la 4+), et de les voir parler de leur marque avec autant d'implication, c'était sympa.

De découvrir aussi les noms des mascottes : le lapin d'or par exemple, pour les couches de nuit 😉

Vous l'aurez compris, j'ai juste passé un super moment, et j'avais envie de le partager avec vous. Et l'article n'est pas sponsorisé (quoique je suis repartie avec un chouette paquet de couches, ça compte ?).