Jet lag et conséquences

J’ai été peu présente récemment sur le blog, et ce pour une bonne raison… on était en Australie ! Et j’avais autre chose à faire que bloguer (oui oh pardon hein 😉 !

Tout ça pour dire que nous sommes rentrés dimanche, et que le retour à la réalité a été un coup dur. Pour nous, bien sûr, mais pour Crevette aussi, et surtout.

Notamment parce que :

* On est passés de 30 à 6°C d’un coup.

* On a perdu 10h (décalage horaire).

* On vivait à 8 dans une maison de 100m2 avec piscine et on se retrouve à 3 dans 55m2…

Et cela a des conséquences.

* Ca se traduit notamment par une Crevette sur pile électrique. Elle n’arrête pas. 

* Elle appelle régulièrement son papi, sa mamie, ou ses cousins et fait une petite moue déçue en ne les voyant pas

* Le retour mardi chez la nounou a été une expéreince particulière. Je pensais qu’elle serait ravie de retrouver son ass mat et sa copine Manon mais se réacclimater après un mois n’a pas été aussi rapide que prévu. Elle a fait sa timide un moment, l’homme a du rester un peu avec elle. Quand elle a vu sa copine, elles se sont jaugées un peu, toucher le visage puis gros calin… Chou ! Mais pas de sieste…

* Et qui dit pas de sieste, dit Crevette irritable, voire colérique… Et qui ne dort pas vraiment. Du coup les deux premières nuits elle a finit dans notre lit, et tout parent ayant testé le cododo avec un enfant de 19 mois connait ma douleur : bébé qui bouge beaucoup, fait des bruits, parle, te réveille… Bref pas idéal pour notre récupératoin de sommeil à nous non plus !

* Hier, elle a peu dormi chez la nounou encore une fois, mais par contre, ça s’est manifesté différemment : elle s’est endormi contre moi dans l’écharpe en rentrant et ne s’est réveillée qu’à 23h30 pour manger son bib… Ce matin, on aeu droit à un réveil en fanfare vers 5h mais cette fois, on l’a laissée au lit. Un bib à 7h et on a eu droit à des calins toute la matinée.

Bilan : pour un bébé de cet âge-là, je suis quand même assez épatée de sa facilité à se réadapter. Je pensais qu’on galererait beaucoup plus. Nous, on est bien décalqués, alors je me mets à sa place 🙂

mais encore une fois, la capacité d’adaptation de ces petites bestioles ne cesse de m’épater !