
4 J-dramas avec Takeru Satoh
Après Glassheart, je me suis rendue compte que j’avais déjà vu des dramas avec l’acteur Takeru Satoh, (il faut croire qu’il m’a vraiment marquée dans GlassHeart. Je partage donc avec toi mon avis sur 4 dramas avec l’acteur japonais !
Un cas d’amour incurable (2020)

Le pitch : Cinq ans après avoir été témoin de l’acte héroïque d’un médecin, la jeune infirmière Sakura Nanase (Mone Kamishiraishi) rejoint le même hôpital que son idole, le Dr Kairi Tendo (Takeru Satoh). Mais elle se rend rapidement compte qu’il s’agit d’un homme froid et perfectionniste. Malgré sa sévérité, le dévouement sans faille et l’affection de Sakura commencent à faire fondre son cœur. Alors qu’elle s’efforce de le convaincre de sa valeur, le choc entre son optimisme et le cynisme du médecin devient une véritable épreuve d’amour et de persévérance. L’engagement inébranlable de Sakura permettra-t-il au docteur de revoir ses positions sur l’amour ? Cette comédie romantique japonaise est adaptée d’un manga de Maki Enjoji. (source VIki)
Le drama est un peu farfelu : on a du mal à imaginer qu’à un moment donné le docteur irascible et froid va finir par craquer pour cette jeune infirmière pourtant très têtue. J’avais abandonné en cours de route l’épisode un, que je trouvais peu crédible, mais j’ai décidé de lui redonner une seconde chance après Glassheart et bizarrement, en cours de route, j’ai fini par m’attacher à ces deux personnages si différent et à attendre aussi le happy ending. Ce n’est pas le drama qui l’aura le plus marquée, mais il est léger, fun, et les personnages bien définis. J’ai eu un coup de cœur pour la sœur du Dr Tendo, qu’on retrouve aussi à ses côtés dans J’aurais du te le dire un million de fois (cf plus bas !)
Ma note : 6/10
Un cas d’amour incurable – 10 épisodes à voir sur Netflix, Viki ou YOutube.
First Love (2022)

Le pitch : Yae NOGUCHI est chauffeuse de taxi à Sapporo. Son rêve de jeunesse de devenir hôtesse de l’air semble loin derrière elle. Harumichi NAMIKI, ancien pilote pour l’armée d’Auto-Défense, travaille quant à lui comme agent de sécurité, dans la même ville. Rien ne semble lier ces deux personnes en dehors de leur lieu de vie. Pourtant, c’est au lycée qu’ils se sont rencontrés. En neuf épisodes, nous explorons le rapprochement de Yae et Harumichi dans leurs jeunes années, l’amour qui s’est développé, jusqu’à leur vie d’aujourd’hui. Et surtout comment ils ont été marqués par leur amour l’un pour l’autre et on apprend peu à peu ce qui les a séparés, avant que le destin ne s’en même et les remette sur le chemin l’un de l’autre.
L’histoire de la série est inspirée de deux chansons de Hikaru Utada : le tube « First Love » de 1999 et « Hatsukoi », sorti 19 ans plus tard. L’histoire suit un couple retraçant les souvenirs de leur premier amour inoubliable sur plus de 20 ans et trois décennies : de la fin des années 90 aux années 2000, et jusqu’à aujourd’hui. Le drama est très poétique, intense. La photographie est sublime. Les acteurs justes. Tous les personnages, même secondaires, ont un rôle à jouer et impactent leurs retrouvailles. J4ai été très touchée par ce drama, profond, émouvant.
Ma note : 9/10
First Love 9 épisodes à voir sur Netflix – Avec Hikari Mitsishima , Takeru Satoh, Rikako Yagi…
J’aurais dû te le dire un million de fois (2023)
Le pitch : Enfants, Yui Soma (Mao Inoue) et Naoki Torino (Takeru Satoh) étaient de proches amis ayant grandi dans la même famille d’accueil. Devenus adultes, ils se retrouvent et tombent passionnément amoureux. Un coup du sort tragique arrache soudainement Naoki avant qu’il ne puisse demander Yui en mariage. Dévastée par sa disparition, elle cherche des réponses. En déposant un rapport de personne disparue, elle rencontre Yuzuru Uozumi (Kenichi Matsuyama), un détective criminel capable de voir les fantômes, et notamment celui de Naoki. À travers lui, Yui commence à communiquer avec Naoki. Ensemble, les trois comparses décident de découvrir la vérité sur sa mort.
(déso, j’ai pas trouvé la bande annonce)
On est sur un cocktail de fantastique, romance et enquête policière. Naoki, transformé en fantôme, n’a plus aucun souvenir de ses derniers moments. Que s’est-i passé le dernier jour de sa vie, entre le moment où il a quitté le restaurant où il travaille et celui où il a repris conscience en tant qu’esprit ? Durant les 10 épisodes, on va suivre l’enquête de Yuzuru, un jeune policier détaché de tout qui va peu à peu sympathiser avec Naoki et Yui, admiratif de leur amour envers et contre tout. Une enquête qui va interroger des évènements ayant eu lieu dans l’enfance des deux personnages principaux et les faire se questionner sur leurs relations passées.

La série a un bon rythme, le ML et le FL sont attachants, même si, malgré ce que laisse entendre le titre, certaines choses ne sont pas dites et en tant que spectateur impliqué, c’est un peu frustrant. Peut-être parce que parfois, les mots ne suffisent pas à décrire ce que l’on ressent (c’est beau…). J’ai trouvé très intéressant le traitement fait aussi sur le personnage du policier. Il ne se contente pas d’être le lien entre Naki et Yui : il s’implique dans cette histoire, mais permet aussi d’équilibrer la frontière entre fantastique et réalité. Son histoire familiale (une famille de chamane) et sa relation avec sa sœur est une bouffée d’air frais aussi dans l’histoire parfois un peu chargée en émotions.
Et au cas où tu ne l’aurais pas reconnue, Mao Inoue jouait dans la version japonaise de Boys over flower (Hana Yori Dango) !
Ma note : 8/10
J’aurais dû te le dire un million de fois – 10 épisodes à voir sur Netflix ou Viki.
Épouse-mon mari (2025)
Le pitch : Misa a toujours vécu dans l’ombre, vouant une confiance aveugle à sa meilleure amie et à son mari. Quand elle découvre leur liaison, cette trahison entraîne sa mort. Se réveillant dix ans plus tôt, elle va devenir l’actrice principale de sa vie. Elle compte nuire aux deux traîtres en les amenant à se marier, mais sa rencontre avec son directeur l’incite à se remettre en question.
J’ai d’abord lu le webtoon, plutôt sympa. Puis j’ai vu le drama coréen adapté, avec Park Min Youn et Na Inwoo, assez fidèle à l’intrigue du webtoon (notamment les débuts) et plutôt réussi. La version japonaise me tentait donc beaucoup ! Malheureusement, après les deux premiers épisodes plutôt réussis, peu à peu l’intrigue dérive.


On retrouve évidemment des points communs avec l’histoire originelle (ça colle d’ailleurs souvent mieux que la version coréenne), mais Park Min Young incarnait une héroïne volontaire, qui après sa prise de conscience décide de ne plus se laisser marcher sur les pieds. Un jeu d’actrice intense, qui nous embarquait. Ici, Misa garde quasiment jusqu’au bout une mentalité de victime, qui ne s’en sort pas sans un homme pour l’aider, qui ne tranche jamais. Son personnage est « tiède » et du coup, j’ai eu beaucoup de mal à la suivre. J’ai trouvé également « les méchants » You Yokoyama et Sei Shiraishi très caricaturaux… Bref, tu l’auras compris, je n’ai pas trop apprécié ce drama que j’ai eu du mal à finir, même si Takeru Satoh réussit à sortir un peu son épingle du jeu avec son interprétation toujours juste.
Ma note : 4/10 (j’ai quand même apprécié les premiers épisodes)
Épouse-mon mari – 10 épisodes à voir sur Prime video.
